GIL COURTEMANCHE - UN DIMANCHE A LA PISCINE DE KIGALI
RESUME
RESUME
En mission au Rwanda pour l’établissement d’une télévision éducative, le journaliste Bernard Valcourt découvre un pays dévasté qui sombre dans la folie exterminatrice. Tout à la fois roman, chronique et reportage, Un dimanche à la piscine à Kigaliest bouleversant d’authenticité
À cette heure précise où les buses s'installent autour de la piscine, les parachutistes français, dans leurs transats de résine, se donnent des airs de Rambo, des coopérants québécois rivalisent de rires bruyants avec des coopérants belges. En ce dimanche tranquille, un ancien ministre de la Justice se livre à d'intenses exercices d'échauffement sur le tremplin, quelques carcasses rondouillettes ou faméliques troublent l'eau, et Valcourt, qui note ces observations, les marmonne, souvent avec rage, parfois avec tendresse, mais toujours ostensiblement.» Bernard Valcourt, journaliste revenu de tout, de la famine en Éthiopie à la guerre au Liban, se rend au Rwanda pour une bien futile et utopique mission, mettre sur pied un service de télévision libre. Il y découvre un pays ravagé par la misère, la corruption, le sida, et l'amour au travers de Gentille, une Hutue aux traits fins de Tutsie. Et, tandis que la petite colonie occidentale se détend au bord de la piscine à Kigali, un peuple sombre dans la folie exterminatrice.
MON AVIS
Après avoir eu du mal à accrocher du fait du style journalistique, je n'ai pu lâcher ce roman qui est génial.On apprend à travers Bernard Valcourt et Gentille, ce qui s'est passé au Rwanda. Et ce que la folie des hommes engendre.C'est poignant, émouvant, historiquement bien retracé bien que cela soit une oeuvre de fiction.Les personnages sont attachants et la fin est surprenante (je ne la dévoilerai pas).
MA NOTE : 5/5
À cette heure précise où les buses s'installent autour de la piscine, les parachutistes français, dans leurs transats de résine, se donnent des airs de Rambo, des coopérants québécois rivalisent de rires bruyants avec des coopérants belges. En ce dimanche tranquille, un ancien ministre de la Justice se livre à d'intenses exercices d'échauffement sur le tremplin, quelques carcasses rondouillettes ou faméliques troublent l'eau, et Valcourt, qui note ces observations, les marmonne, souvent avec rage, parfois avec tendresse, mais toujours ostensiblement.» Bernard Valcourt, journaliste revenu de tout, de la famine en Éthiopie à la guerre au Liban, se rend au Rwanda pour une bien futile et utopique mission, mettre sur pied un service de télévision libre. Il y découvre un pays ravagé par la misère, la corruption, le sida, et l'amour au travers de Gentille, une Hutue aux traits fins de Tutsie. Et, tandis que la petite colonie occidentale se détend au bord de la piscine à Kigali, un peuple sombre dans la folie exterminatrice.
MON AVIS
Après avoir eu du mal à accrocher du fait du style journalistique, je n'ai pu lâcher ce roman qui est génial.On apprend à travers Bernard Valcourt et Gentille, ce qui s'est passé au Rwanda. Et ce que la folie des hommes engendre.C'est poignant, émouvant, historiquement bien retracé bien que cela soit une oeuvre de fiction.Les personnages sont attachants et la fin est surprenante (je ne la dévoilerai pas).
MA NOTE : 5/5
Le billet de Doriane
J'ai beaucoup aimé ce livre.
RépondreSupprimer@Meria:moi aussi.
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