« Jamais je ne retrouverai des éperduments de style comme je m'en suis donné là pendant dix-huit mois. »
Flaubert
Condamnée en 1849 par ses amis Bouilhet et Du Camp, qui voulaient « la jeter au feu et n’en plus reparler », cette oeuvre de Flaubert n’avait jamais été rééditée isolément depuis sa première parution en 1910, trente ans après la mort de son auteur.
La maison d'édition :
Les toutes jeunes éditions Ivres de Livres est et restera une petite maison d’édition, publiant 6 titres par an, en deux livraisons (janvier et juin). Il s’agit de livres composés avec d’autres livres (recueils d’aphorismes, recueils thématiques regroupant des textes dispersés). Il s’agit aussi (les deux ne s’excluant pas) de livres autour des livres (comme Bibliomanies dans la première livraison)
Ivres de Livres proposera aux lecteurs de participer à son programme éditorial, en suggérant des thèmes de recueils, en proposant des textes pour des recueils déjà programmés, etc.
Ivres de Livres est aussi une librairie de livres anciens, dont certains sont utilisés par la maison d’édition. JB Guinot.
Vous pouvez visiter le site des Editions Ivres de Livre ICI.
MON AVIS :
Un roman qui m'a attiré par le titre, car ce n'est pas un titre que je connais de Gustave Flaubert.
Le livre en lui-même est beau, avec une jolie couverture, un papier doux et une belle qualité d'impression.
Cependant, le contenu ne m'a pas convenu car ce n'est pas un roman historique comme je l'ai pensé, mais le récit de Saint-Antoine; à travers des figures de style.
Je n'ai pas lu tous les chapitres car il y a beaucoup de descriptions qui me paraissent futiles.
On a l'impression que l'auteur a écrit ce livre comme un catharsis et qu'il a voulu construire un livre d'art sylistique, ce qui est réussit.
Je remercie les Editions Ivres de Lire et Blog O Book pour ce partenariat.
MA NOTE :2/5
Un roman qui m'a attiré par le titre, car ce n'est pas un titre que je connais de Gustave Flaubert.
Le livre en lui-même est beau, avec une jolie couverture, un papier doux et une belle qualité d'impression.
Cependant, le contenu ne m'a pas convenu car ce n'est pas un roman historique comme je l'ai pensé, mais le récit de Saint-Antoine; à travers des figures de style.
Je n'ai pas lu tous les chapitres car il y a beaucoup de descriptions qui me paraissent futiles.
On a l'impression que l'auteur a écrit ce livre comme un catharsis et qu'il a voulu construire un livre d'art sylistique, ce qui est réussit.
Je remercie les Editions Ivres de Lire et Blog O Book pour ce partenariat.
MA NOTE :2/5
Es tu toujours intéressée pour recevoir le troubadour du châtelet de Marie Visconti ? Si oui, envoie moi un email avec ton adresse à l'adresse sunset-avenue@hotmail.fr
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