RESUME :
Dans une lettre laissée à sa fille après sa mort, Yukiko, une survivante de la bombe atomique, évoque les épisodes de son enfance et de son adolescence auprès de ses parents, d'abord à Tokyo puis à Nagasaki. Elle reconstitue le puzzle d'une vie familiale marquée par les mensonges d'un père qui l'ont poussée à commettre un meurtre.
Obéissant à une mécanique implacable qui mêle vie et Histoire, ce court premier roman marie le lourd parfum des camélias (tsubaki) à celui du cyanure. Sans céder au cynisme et avec un soupçon de bouddhisme, il rappelle douloureusement que nul n'échappe à son destin.
Née au Japon, Aki Shimazaki vit à Montréal depuis plus de dix ans. Tsubaki est le premier volet de sa pentalogie Le Poids des secrets, qui comprend également Hamaguri, Tsubame, Wasurenagusa et Hotaru .
MON AVIS :
Un roman court avec une écriture fine.C'est l'histoire de Yukiko, qui apprend le secret familial, gardé tout au long de sa vie, par sa mère, lors du décès de celle-ci.
Yukiko, plonge alors, par des lettres rédigées à son intention,dans l'histoire de sa mère et ce qui a amené ce secret familial, qui pèse sur ses épaules depuis son enfance.
C'est tout ce cheminement que l'on suit, les questions, les doutes, les angoisses, la colère,la peur, la haine, l'amour, l'amitié, avec en toile de fonds la guerre et les bombes tombant sur le Japon.
C'est un roman court, clair, agréable.
Il ne me reste plus qu'à lire la suite.
Yukiko, plonge alors, par des lettres rédigées à son intention,dans l'histoire de sa mère et ce qui a amené ce secret familial, qui pèse sur ses épaules depuis son enfance.
C'est tout ce cheminement que l'on suit, les questions, les doutes, les angoisses, la colère,la peur, la haine, l'amour, l'amitié, avec en toile de fonds la guerre et les bombes tombant sur le Japon.
C'est un roman court, clair, agréable.
Il ne me reste plus qu'à lire la suite.
Je te souhaite de bien t'en régaler. Quelle belle pentalogie !
RépondreSupprimerDans la pal ! Me réjouis !
RépondreSupprimer@Stephie: merci je vais me procurer la suite.
RépondreSupprimer@Theoma: bonne lecture.