Voilà une superbe exposition, riche en objets et en découverte de la vie en société à POMPEI.
On y découvre la villa DOMUS et plusieurs de ses pièces : la culina (cuisine), la vaiselle, les thermes, les objets du bain, les atours, la culture, les ustensiles des repas, qui duraient très longtemps ( le dîner commençait à 15h et finissait tard dans la nuit et comportait au minimum 7 plats).
Une lampe |
Les thermes et leurs superbes mosaïques |
La salle à manger |
le coffre de la maison en bois et fer |
Pour agrémenter cette belle exposition, je vous conseille le roman :
POMPEI de Robert Harris
Baie de Naples, an 79. La chaleur se fait de plus en plus étouffante pour les Romains en cette dernière semaine d'août. Une fin d'été ordinaire en Campanie si ce n'est la disparition mystérieuse de l'aquarius chargé de contrôler l'alimentation des environs en eau potable, une anomalie détectée sur l'Aqua Augusta et une étrange odeur de soufre qui flotte dans l'air... Etrangement, personne ne semble prêter attention à ces événements inhabituels. Personne, sauf Attilius, le nouvel ingénieur chargé de l'entretien de l'aqueduc. Alors que Pompéi se prépare à vivre ses dernières heures et qu'il pressent une catastrophe imminente, Attilius va devoir faire face à des querelles politiques et affronter son ennemi juré, esclave affranchi influent et tyrannique,
père de la belle Corelia...
Et aussi POMPEI de Maja Lundgren
Maja Lundgren a imaginé une fiction mettant en scène sa parfaite connaissance de la vie à Pompéi, à la veille de sa destruction par la catastrophe de l’an 79. Il s’ensuit qu’excepté l’intrigue tout ici est exact : le plan de la ville, le nom des rues, les patronymes des commerçants et l’emplacement de leurs boutiques, la liste des cabarets et des bordels, les mérites respectifs des prostituées, les habitudes alimentaires, les recettes culinaires, la manière de se vêtir, les pratiques sexuelles, les usages et les interdits. En traduisant les graffiti, Maja Lundgren nous donne une rafraîchissante leçon de vocabulaire, en parcourant les sites archéologiques, elle nous transporte dans la mentalité de l’époque. De cette somme de connaissances, elle tire un livre inclassable, à l’érudition enjouée, ludique, qui bouscule les conventions de l’historiographie antique et renvoie au grenier des siècles de didactisme.
L'avis de Praline
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